Du mariage homo et de ses conséquences

Publié le 8 Mai 2008

La campagne Matelsom a relancé la polémique, il est temps de me positionner plus clairement sur le sujet du mariage homosexuel, sujet que j'ai régulièrement évité jusqu'à présent sur mon blog, mais que j'ai eu l'occasion de développer en long et en large sur nombres de commentaires.

Tout d'abord, qu'il me soit permis de sourire d'un fait intéressant. Plus personne ne veut se marier. Les seuls qui souhaitent s'engager dans la voie longue et difficile du mariage sont les cathos, les prêtres hyper-progressistes, et certains homos. Permettez-moi de m'amuser à constater que des personnes qui ne sont, la plupart du temps, pas connues pour leur fidélité, souhaitent aussi ardemment s'engager dans la voie du mariage. Que les homos se retrouvent aux côtés des catholiques pour défendre l'institution du mariage ne manque pas de sel.

Passons.

Disons-le tout net, au risque de choquer certains catholiques, je n'ai rien contre l'homosexualité au sens strict, chacun fait ce qu'il veut dans son pieu, je m'en fous, ce n'est pas mon problème. C'est pour cela d'ailleurs que je trouve que l'argument religieux, repris par certains de mes amis, n'est pas pertinent. Comment évoquer les condamnations bibliques de la sodomie face à quelqu'un qui n'accorde aucun crédit à la Bible ? Ces arguments ne sont tout simplement pas crédibles dans le cadre de l'homosexualité. Les arguments des croyants ne peuvent toucher que des homosexuels croyants, qui ne doivent probablement pas être très nombreux.

Par contre, l'un des aspects du fait homosexuel qui me pose le plus de problème, c'est, en ce qui concerne certains gays, l'hyper-sexualisation et le côté exhibitionniste, à l'image de ce qu'a récemment déclaré le maire de Rome.
 

« Je respecte les personnes homosexuelles, j'en connais quelques-unes et je ne fais pas dans la discrimination. Mais je crains que la Gay Pride soit tout autre chose, un acte d'exhibition sexuelle, et je suis opposé à toute forme d'exhibition, homosexuelle ou hétérosexuelle. Le problème, ce n'est pas oui ou non à l'homosexualité, mais oui ou non à l'exhibition. »


Que je sache les nudistes ne se baladent pas régulièrement dans les rues de Paris pour revendiquer davantage de libertés. Je n'ai jamais vu de stripteaseuses manifester en tenue, ce qui n'est pas le cas de la Gay Pride. A ce sujet, il faut vraiment lire cet article de Michel Bellin (en bas de page), très éclairant. Ce qui me gêne n'est pas tant l'homosexualité, que cette mode qui le considère comme hyper-tendance, comme hyper-fashion. Les hétéros sont de facto ringardisés, alors que pourtant, dans une société, personne n'est plus important qu'eux.

Or, dans un Etat se souciant du bien commun, la priorité est, non pas de légaliser, ou d'autoriser toutes les pratiques existantes ou toutes les modes, dont on connait la diversité, dictées par l'opinion publique, mais de promouvoir et d'encourager le cadre permettant à la société de prospérer. Et malheureusement, les homosexuels ne rentrent pas dans ce cadre. L'Etat n'a pas vocation à mettre sur le même plan un comportement qui favorise la croissance de la société par la fécondité, et un comportement qui ne permet pas de faire profiter à la société des mêmes largesses que l'hétérosexualité.

Un mot sur l'adoption.

Les hétéros ont une "mission" dans le sens où c'est la famille qui constitue la cellule de base de la société. Cette cellule, lorsqu'elle est stable, permet l'équilibre et l’éducation des enfants (c'est pour cela que les divorces sont généralement de vrais drames). Enfants, qui, nous serons tous d'accord là-dessus, sont le "bien" le plus cher qui soit, c'est à dire que rien ne doit aller à l'encontre de leurs intérêts. Or je considère qu'en plus d'avoir le droit à la vie, ils ont également le droit à cette stabilité psychologique, et notamment, à l’altérité des sexes entre les parents (je sais, j'aggrave encore mon cas). Jamais un homme ne remplacera une femme, comme jamais une femme ne remplacera un homme. (Note de 2013 : Pour faire simple, d'après Carl Jung, le psychisme d'un individu est composé d'une partie féminine et d'une partie masculine, qui sont des alchimies singulières et uniques des influences masculines et féminines parentales, et c'est le délicat équilibre, la tension, entre ces pôles opposés qui crée la psyche. Or, même si avec deux homosexuels ou deux lesbiennes, il y aura toujours une partie féminine et masculine, car venant, au minimum, de l'extérieur de la famille, ces parties risquent de ne pas trouver chez l'enfant leur pleine expression, leur plein potentiel, voire même risquent de se superposer ce qui peut être source de névrose, donc de souffrances. Il s'agit là, à mon sens, de l'argument principal de ce débat.)

Mettre l’homosexualité au même niveau que l'hétérosexualité serait du relativisme, ce qui est aussi une des pires choses qui soient. Ce serait nier le caractère sacré et vital de la procréation. Tout se joue ici au niveau des symboles. Et ceux-ci, dans une société, sont importants.

Autre point. On nous rabâche le cerveau des "études" démontrant qu'il n'y a aucun impact sur les enfants d'avoir des parents homosexuels. Un article de La Croix avait cassé ce mythe (d'accord, ils sont partie prenante, mais les gays ne sont-ils pas partie prenante également ? ) :

 

 

Les enquêtes citées, en général américaines, sur lesquelles se fondent les revendications d’ho­moparentalité révèlent en fait bien des surprises : l’échantillonnage est extrêmement restreint, quel­ques dizaines de personnes, le plus souvent membres d’associations gays militantes ; dans la plupart des cas, seuls les parents sont in­terrogés et parlent au nom de leurs enfants ; quand des comparaisons sont faites, c’est le plus souvent avec des familles monoparen­tales, soit d’origine, soit issues d’un divorce ; les questionnaires sont standardisés, exclusivement comportementalistes et fonction­nalistes, sans mise en perspective de l’évolution de l’enfant jusqu’à l’âge adulte ; les notions clés de « père », « mère », « parent », « con­ception » et « engendrement » y sont délibérément laissées dans le flou. Tout se passe comme si les enfants vivant au sein de couples homosexuels étaient chargés de valider les comportements des adultes en « allant bien », alors que l’on y découvre que plus de 40 % d’entre eux bénéficient d’un suivi psychologique.


On sait déjà que les divorces entre hétérosexuels laissent souvent des traces non négligeables chez les enfants. Et on voudrait aggraver les choses avec les homosexuels ? Les enfants ne supportent pas d'être différents, d'avoir une famille qui ne soit pas dans la norme, moyennement moyenne. Ajoutons à cela un imaginaire homo, une culture gay exacerbée et revendicative, parfois caricaturale, cela n’aide pas non plus les mômes à se construire. (Note de 2013 : le principal problème n'est pas la culture gay, la culture hétéro étant toute aussi potentiellement destructrice)
On voit alors sans peine la difficulté pour des enfants d'assumer le fait d'avoir des parents homosexuels.

Je vous laisse juge, je ne sais pas si je suis homophobe et à vrai dire, je m'en fous un peu. Peu me chaut d'être hai ou voué aux gémonies parce que je ne considère pas que Vanneste soit un salopard de la pire espèce. D'autant que je considère que les pires homophobes sont plutôt du côté de certains bobos qui considèrent (discours qu'il m'est arrivé d'entendre) qu'il FAUT avoir un homo dans ses connaissances, comme on doit avoir un beur de service dans son réseau. C'est réduire la personne à sa sexualité ce qui est encore pire, à mon avis, que de ne pas accepter telle ou telle sexualité. Il faut dissocier la personne de sa sexualité, et arrêter de tout confondre, comme si l'individu ne pouvait se définir que par le sexe de son conjoint.

Oui, le comportement homosexuel n'est pas sur un pied d'égalité avec le comportement hétérosexuel. Mais cela n'a rien à voir avec une discrimination des homosexuels. C'est une promotion de l'hétérosexualité en vue de ce qu'elle apporte à la société.

Alors oui, la propagande culturelle autour de l'homosexualité me lasse car l'on perçoit très bien que ce petit jeu mène directement au mariage pur et simple. Des gens qui ne représentent qu'eux-même, ne sont qu'une poignée, parviennent, à coups de lobbyings, de programmes culturels (les bears dans la pub, la Gay Pride), de pressions comminatoires, de sentimentalisme, à imposer leur thématiques, et malgré leur divisions, réussissent à obtenir l'oreille attentive des politiques.

Le domaine culturel a été plus ou moins abandonné par les conservateurs, laissant leurs opposants déterminer ce que les Français vont regarder, et plus tard voter. Le discours dominant est complétement centré sur le relativisme, l'ouverture à de nouvelles sensations, la détestation des "moeurs coincés", ce que le Grand Charles appelle la religion du Moderne. Effectivement, si l'on est un tant soit peu réalistes, les conservateurs ont perdu, le mariage homo existe déjà. Le contrat d'union civile, que l'UMP souhaite voter, est un mariage homo sans le nom, il en a presque tous les atouts, seule manque la mention "mariage".

Enfin, certains homosexuels nous disaient au moment du PACS: "Non, jamais nous ne demanderons quoique ce soit de plus, nous ne voulons pas du mariage". Force est de constater qu'ils avaient tort, que le PACS n'était bien sûr qu'une accroche, qu'une introduction afin de préparer un plan plus large. Plus inquiétant est ce constat lorsque l'on connait les projets à venir après le mariage homo, promouvant toutes les sexualités alternatives. D'autant que l'évolution actuelle des lois suit un mécanisme de cliquet, c'est à dire que si l'on vote la loi, il est ensuite impossible de revenir dessus. Ainsi, si le mariage homosexuel passe, il est probable que la logique relativiste continuera. Je ne vois pas pourquoi l'on s'arrêterait en si bon chemin.

Dans cette logique, toutes les sexualités devront être reconnues par l'Etat, ce qui risque d'augurer d'un beau bazar, ce n'est pas la peine que je vous dresse le tableau. (Note de 2013 : Au fond, ce débat n'est rien d'autre que la question du rôle de l'Etat. Doit il reconnaitre TOUTES les situations existantes parce que la démocratie l'exige ou doit-il avoir un rôle qui aille au-delà des partis, des choix des uns ou des autres ?)

Rédigé par Polydamas

Publié dans #Argumentaires

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W
Thanks for debating this a topic. Gay and lesbian marriages should be condemned and must not be shown as the new liberal and democratic agenda. It cannot be justified in any manner nowhere here. A good example of content presentation.
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M
Bonjour,<br /> Je suis la fille d'un homosexuel, et je ne me reconnait pas dans ce que tu racontes; Je ne suis pas une désaxée sexuelle, ni une psychopate, ni une dégénérée.<br /> Il faudrait que tu confrontes tes idées avec la réalité. Je suis a ta disposition pour que tu puisses me poser des questions. Cherches à connaitre le gens plutot qu'à répandre sur leur dos des grands stéréotypes. C'est comme si je disait que tous les curés sont pédophiles.<br /> Tu ne te rends pas compte de la violence de tes propos.
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P
Je ne suis pas communiste, c'est mon père qui l'est. Et si par figure tutélaire tu sous entends Staline, Mao et tous ces dictateurs, tu te gourres méchamment, mon père à en horreur les dictateurs. <br /> Concernant l'homosexualité. Elle est naturelle, légitime, et existe depuis la nuit des temps. Et elle n'est pas une menace pour l'être humain et sa survie, elle ne l'a jamais été et ne le sera jamais. Légaliser le mariage et l'adoption ne changera rien à ça. Des comportements homosexuels, il en existe même chez les animaux, pourtant ça n'a jamais mis une espèce en voie de disparition, je me trompe? Donc de ce côté là, aucun soucis à se faire. <br /> Comme l'homosexualité ne porte préjudice à personne (à part l'extrême droite, les catho/musulmans/juifs extrémistes), je ne vois aucun raison valable de leur refuser le mariage et l'adoption. Quand tu parles de "parents stéréotypés", ça me fait bien rigoler. La connerie n'est pas le privilège des homosexuels (tu en es la preuve vivante), et je ne vois pas bien en quoi des parents "stéréotypés" porteraient atteinte au bien-être des enfants. Déjà parce que penser que les homos sont toutes des "folles" est faux, et ensuite parce que je ne vois pas en quoi ces "folles" méritent le mépris général. Si ça te gêne de croiser une folle, tu regardes ailleurs et puis c’est tout, on va quand même pas s’empêcher de vivre pour une poignée de coincés.A mon sens, les gays ne valent pas mieux ou moins que les hétéros, mais ils doivent avoir les mêmes droits, parce que justement ils ne sont pas différents des autres.Quand je te "souhaitais" d'avoir un gamin homosexuel, c'était à la fois de la provocation, mais en fait une réelle interrogation. Ca peut t'arriver, tu peux découvrir un jour que ton gosse est gay. Qu'est-ce qui se passera si un jour ça arrive? Qu'est-ce que tu feras? Tu le foutras à la porte? Tu le pousseras au suicide en essayant de le changer? Tu invoqueras la Bible pour lui faire croire que ce qu'il fait est mal? Tu arriverais à lui dire que non, tu préfères qu'il ne connaisse jamais les joies du mariage et de la paternité (pour ceux qui veulent) parce que tu penses qu'il serait "nocif"?Comment peut-on assumer son homosexualité dans un milieu aussi fermé et replié comme lui-même?Enfin bref, de toute façon je suis prête à parier que tu ferais partie de ceux qui préfèrent que leur gamin finisse par se prostituer loin de chez eux plutôt que d’avouer que ce sont eux qui ont un problème. Ce sont tes valeurs haineuses qui sont dangereuses et nocives pour la société, pas les miennes.
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P
<br /> J'aime bien, tout le monde se dit communiste, mais dès qu'on parle des vrais communistes, de ce qu'ils ont fait, cette fois, là, il n'y a plus personne. Faut assumer.<br /> <br /> L'homosexualité n'a rien de légitime, elle est une déviation, ce n'est pas parce que c'est une sexualité qu'elle est légitime ou alors il faut légitimer toutes les pratiques bizarres que l'homme<br /> est capable d'inventer. Je ne dis pas qu'il y a un risque de disparition, je dis qu'on met sur le même plan des concepts et des statuts qui ne peuvent en AUCUN CAS être égaux. Dand un premier<br /> temps, il s'agit du statut du ménage et de ses enfants, dans l'autre de pratiques de particuliers n'ayant aucun intérêt à ce qu'ils soient reconnus dans la loi.<br /> <br /> Les homos ne portent préjudice à personne en particulier, c'est aux valeurs qui fondent notre vie en société qu'ils attaquent en réclamant d'être mis sur le même plan que les mariages hétéros.<br /> <br /> Quant à ma connerie, ce n'est pas moi qui fait une thérapie, ma petite, ne renverse pas les rôles. Je me fous de croiser des folles dans le metro (je me rends même sur leurs blogs), effectivement,<br /> c'est leur vie privée, pas de souci avec ça. Mais à partir du moment où ils demandent la reconnaissance de la société par l'Etat, ce n'est plus de la vie privée, ça devient un fait de société, sur<br /> lequel chacun, en tant que citoyen, est libre de se prononcer. Si ils ne peuvent pas adopter, c'est parce que la dualité père/mère est importante et fonde la psychologie des gamins.<br /> <br /> Si j'ai un enfant homo, je lui dirais de faire ce qu'il voudrait mais de ne pas me demander de reconnaitre sa situation comme normale, méritant d'obtenir un statut public. ET je lui dirais<br /> effectivement, qu'il n'est pas le mieux placé pour prendre la responsabilité d'élever des gamins. Et non, je ne souhaite pas qu'il se prostitue (franchement, qui peut souhaiter ça, t'es malade ?),<br /> je lui dirais juste que même si je l'aime, je n'accepte pas son comportement ( tu sais la distinction entre les actes et les personnes, on peut aimer les personnes, sans accepter tous leurs<br /> actes).<br /> <br /> <br />
P
Je suis ravie de voir que tu prends conscience que ton opinion et celle de tes amis catho conservateurs ne fera pas le poids! Tôt ou tard, le mariage homosexuel sera légalisé. L'adoption suivra, d'autres pays donnent l'exemple. Nous sommes en train de gagner du terrain, et c'est une idée qui me rend profondément heureuse, même s'il y a encore beaucoup de travail à faire.Je te conseille ce fabuleux reportage sur un couple d'homosexuels new yorkais qui ont eu deux jumelles grâce a une mère porteuse. Il n'y a qu'a voir la bouille des gamines pour voir qu'elles ne manquent de rien et qu'elles sont profondément heureuses. Concernant la question de la différence, nier qu'il y en a une, de différence, serait hypocrite. Mais c'est à la société d'évoluer, et pas aux parents homos qui élèvent leurs enfants. C'est aux parents hétéros d'apprendre à leurs enfants les valeurs du respect des autres et de soi même, du respect de la différence. C'est à eux de dire à leurs enfants que noir blanc ou arabe, homo ou hétéro, valide ou en fauteuil roulant, nous sommes tous égaux. Si ça se faisait, il n'y aurait plus ce problème des quolibets.Pour finir, en quoi un suivi psy est une mauvaise chose? Je suis issue d'une famille hétéroparentale, j'ai une soeur, je n'ai jamais eu de soucis financiers, je ne suis pas handicapée, et pourtant je vois une psy. Nul besoin d'être une dégénérée ou une déséquilibrée pour aller voir un professionnel et entamer un travail sur soi.Pour le reportage, c'est ici :http://www.dailymotion.com/relevance/search/deux%2Bb%25C3%25A9b%25C3%25A9s%2Ba%2Bmanhattan/video/x1wwc3_deux-papas-a-manhattan-1_family
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P
<br /> Ma chère petite Pépite,<br /> <br /> Tu sais que si les figures tutélaires du communisme te lisaient, elle se retourneraient dans leur tombes, à voir le discours complètement insensé que tu tiens. Que les homos gagnent du terrain,<br /> c'est vrai, et alors ? Ce n'est pas pour cela qu'ils ont raison, il ne faut pas tout mélanger. Et je m'étonne que tu me dises qu'il suffit de voir 15 secondes d'un reportage pour constater "le<br /> profond bonheur" de ces petites. Faudra tout de même aller un peu plus loin.<br /> <br /> Et non, ce n'est pas à la société d'évoluer sur ces points, ce sont des barrières, ce sont des comportements qui ont été heureusement marginalisés, les légaliser est la pire des choses. Ce n'est<br /> pas du respect de la différence, les problèmes de quolibets, ça vient d'autre chose, uniquement de la domination qu'il y a entre tous les humains.<br /> <br /> Quant à suivre un psy, forcèment quand on prône de telles valeurs, ce n'est guère étonnant...<br /> <br /> <br />
L
Excellent article. Vraiment. Je découvre votre site, Polydamas, (bizarrement il m'est plus difficile de vous tutoyer sur votre propre blog, l'athomsphère étant plus... austère.) et c'est avec un réel plaisir que j'ai terminé votre article. Evidemment, je ma conception du problème que vous évoquez ne concorde pas totalement avec vos opinions, néanmoins vous avez traité le sujet avec sérieux et cette belle plume que je prends toujours plaisir à lire.L'échange d'opinions quant à lui était aussi très enrichissant, même si je persiste à croire qu'il ne l'était que pour moi, spectateur, ou peut-être pour vos adversaires, vu que vous persistez dans un mode de pensée non évolutif qui consiste à donner son opinion avec pour pré-requis de ne rien lâcher.Quoi qu'il en soit bravo. Je suis charmé par ce premier aperçu de votre site, je ne me priverai pas de venir vous lire de temps à autre.Salutations, le mal
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P
<br /> Soyez certain d'être le bienvenu en ces lieux peu recommandables... :-)<br /> <br /> <br />