Parallèle
Publié le 9 Juin 2009
D'un côté, nous avons ceci:
Et de l'autre, dans le Famille Chrétienne du 6 Juin, cette annonce :
Pour rappel, Mgr Batut est l'ancien curé de St Eugène - Ste Cécile, à Paris, qui y a découvert et appris le rite tridentin, et s'en est nourri pour ses messes dans la forme ordinaire.
Et pour couronner le tout, nous avons cela :
Aujourd'hui, grâce au Motu Proprio, cette situation est en train de changer notablement. Et cela ce réalise en grande partie parce que la volonté du Pape n'a pas été uniquement de satisfaire les fidèles de Mgr Lefebvre, ni de se limiter à répondre aux justes désirs des fidèles qui se sentent liés, pour des motifs divers, à l'héritage liturgique représenté par le rite romain, mais bel et bien d'offrir à tous les fidèles la richesse de la liturgie de l'Église, en permettant la découverte des trésors de son patrimoine liturgique aux personnes qui les ignoraient encore. Combien de fois en effet le mépris affiché pour ces trésors n'est-il dû qu'à leur méconnaissance ?!
Ça, c'est pour ceux qui me disent que le rite tridentin doit rester dans les caves qu'il n'aurait jamais dû quitter. Et il y en a.
PS: Une vie personnelle riche en événements de toute sorte, un manque de temps pour bloguer, une carence en motivation dûe à ces derniers mois, justifient aisément un ralentissement des publications de ce blog.
S’il est difficile de quantifier ces séminaristes qui entretiennent des relations étroites avec les communautés Ecclesia Dei et qui apprennent à célébrer la messe traditionnelle, il n’en demeure
pas moins que l’émergence de ce nouveau clergé va considérablement amplifier la tendance. En d’autres termes, quasiment un séminariste français sur quatre (et même un peu plus pour les raisons
ci-dessus évoquées) est aujourd’hui destiné à la célébration de la forme extraordinaire.
Un séminariste français sur quatre formé pour la forme extraordinaire… tandis que le nombre de lieux de culte où est célébrée la forme extraordinaire de la messe ne représente quant à lui-même pas 1 % des paroisses… Cette proportion déjà significative de un sur quatre n’est donc pas arrivée à son paroxysme et reste en pleine croissance. Dès lors que l’immense majorité des jeunes ne connaît pas cette forme liturgique faute d’y avoir accès dans leur paroisse, la comparaison reste relative. Plus la messe traditionnelle sera célébrée, plus les jeunes la connaîtront et par suite seront dans la possibilité de choisir.
Un séminariste français sur quatre formé pour la forme extraordinaire… tandis que le nombre de lieux de culte où est célébrée la forme extraordinaire de la messe ne représente quant à lui-même pas 1 % des paroisses… Cette proportion déjà significative de un sur quatre n’est donc pas arrivée à son paroxysme et reste en pleine croissance. Dès lors que l’immense majorité des jeunes ne connaît pas cette forme liturgique faute d’y avoir accès dans leur paroisse, la comparaison reste relative. Plus la messe traditionnelle sera célébrée, plus les jeunes la connaîtront et par suite seront dans la possibilité de choisir.
Et de l'autre, dans le Famille Chrétienne du 6 Juin, cette annonce :
L'association Totus Tuus, qui regroupe des prêtres célébrant habituellement selon la forme extraordinaire du rite romain lance à Lyon une année de spiritualité et de discernement de l'appel à la
vocation sacerdotale diocésaine, sous l'autorité du cardinal Barbarin. Elle s'adresse aux jeunes gens qui ont grandi dans la forme extraordinaire du rite romain.
Contact : Mgr. Jean-Pierre Batut, évêque auxiliaire de Lyon (04 72 38 80 90).
Contact : Mgr. Jean-Pierre Batut, évêque auxiliaire de Lyon (04 72 38 80 90).
Pour rappel, Mgr Batut est l'ancien curé de St Eugène - Ste Cécile, à Paris, qui y a découvert et appris le rite tridentin, et s'en est nourri pour ses messes dans la forme ordinaire.
Et pour couronner le tout, nous avons cela :
Aujourd'hui, grâce au Motu Proprio, cette situation est en train de changer notablement. Et cela ce réalise en grande partie parce que la volonté du Pape n'a pas été uniquement de satisfaire les fidèles de Mgr Lefebvre, ni de se limiter à répondre aux justes désirs des fidèles qui se sentent liés, pour des motifs divers, à l'héritage liturgique représenté par le rite romain, mais bel et bien d'offrir à tous les fidèles la richesse de la liturgie de l'Église, en permettant la découverte des trésors de son patrimoine liturgique aux personnes qui les ignoraient encore. Combien de fois en effet le mépris affiché pour ces trésors n'est-il dû qu'à leur méconnaissance ?!
Ça, c'est pour ceux qui me disent que le rite tridentin doit rester dans les caves qu'il n'aurait jamais dû quitter. Et il y en a.
PS: Une vie personnelle riche en événements de toute sorte, un manque de temps pour bloguer, une carence en motivation dûe à ces derniers mois, justifient aisément un ralentissement des publications de ce blog.