Encore plus loin dans l'abject

Publié le 18 Avril 2008

Hallucinant:

Une étudiante en art de l’université Yale, Aliza Shvarts, a conçu une « installation », comme on dit maintenant, composée d’un cube pendu au plafond où, sur deux côtés, défile une bande vidéo, avec au centre une peinture réalisée avec... le sang de ses avortements. La vidéo donne en boucle des images des dits avortements. Elle a également mélangé du sang (de même provenance) avec de la vaseline, et a placé cette substance entre deux feuilles de plastique qui enveloppent le cube.

Ce qui nous rappelle ceci.
Il y a des moments où le silence s'impose.

Via François de Souche.

PS: L'université de Yale a démenti que ces faits aient pu se produire ainsi. Mais Aliza Shvarts entretient le flou sur ce qu'il s'est réellement passé, et a confirmé toute l'histoire. Mais rien que le fait d'imaginer une chose pareille est proprement aberrante.
 

Rédigé par Polydamas

Publié dans #Pro-vie

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A
"En outre, rien de ce que produisent les pro-life (vidéos, etc) ne sont des hoax..."dans tous les débats "passionels", qui touchent aux moeurs, il y a forcément des hoax, dans les deux camps....certaines personnes etant prêtes a tout pour convaincre...l'important étant de vérifier ses sources, d'ou qu'elles viennent...enfin bref, cette histoire vous faire bcp parler pour pas grand chose, ce sont les délires d'une filles qui a du fumer 2/3 subtances ...c'est facile de créer une video pour faire croire n'importe quoi, mais par contre, s'inséminer seule (plusieurs fois et avec succès!!), arretons d'etre naifs 2 secondes.....
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L
J'aimerais attirer l'attention sur un point. Jusqu'ici, nous n'avons pas la preuve formelle que ce soit vrai. Mais admettons que cela soit. L'université n'a d'autre choix que de nier car cela lui fait une réclame détestable. Mais l'étudiante ne risque rien, n'ayant violé aucune loi puisque "l'avortement est un droit". Ca en fera peut-être réfléchir quelques uns sur les bienfaits de la libéralisation de l'avortement.
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L
Il y a des productions contemporaines qui ont encore quelques traces de valeur esthétique, bref qui ne se limitent pas à l'esbrouffe commerciale pseudosubversive, ni à l'intellectualisme stérile. L'art contemporain est presque comestible quand les artistes s'abstiennent "d"avoir un discours" (avoir un discours, c'est la grande affaire de l'époque on dirait). mais dans l'écrasante majorité, c'est de la merde, il faut dire ce qui est. Une idéologie de classe (la bourgeoisie progressiste mondialiste, libérale et libertaire) qui met en scène le rien et impose qu'on le respecte sous peine de poursuites judiciaires... Ca s'approche tout doucement du zéro absolu : l'art sans public qui fait fantasmer tout ce que la Terre porte de subventionnés de naissance...Quant à l'étudiante pornographe... bah... qu'elle reste avec ses idées et qu'elle en pourrisse. L'idéologie de mort est tellement prégnante que s'acharner sur ses têtes de gondole est assez inconvenant (et vain, surtout!).
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L
C'est bizarre mais c'est bien l'étudiante en question qui créé le buzz avec son canular.De toutes manières l'art corporel ça date (Journiac, c'est les années 70, hein...). Mais l'art contemporain garde sa faculté surnaturelle à faire accepter l'inacceptable au nom de la liberté - faculté que de nobles institutions comme la politique ou la justice ont perdu depuis longtemps. le seul domain où on peut scandaliser les gens, blasphémer le sens commun et proférer des insanités sans avoir la police de la tolérance aux basquettes, c'est l'art contemporain. D'où l'affluence d'esprits médiocres dans cette discipline qui se rapproche de plus en plus de la pure escroquerie.
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P
<br /> Vous trouvez que ça se rapproche de l'escroquerie ?<br /> <br /> Je ne serais pas aussi pudibond, je trouve que C'EST de l'escroquerie... :-)<br /> <br /> <br />
A
quant a etre responsable du contenu de sites des autres ...certes non...mais au moins, tu devrais te rendre compte de la crédibilité de ces sources...
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