Encore plus loin dans l'abject
Publié le 18 Avril 2008
Hallucinant:
Ce qui nous rappelle ceci.
Il y a des moments où le silence s'impose.
Via François de Souche.
PS: L'université de Yale a démenti que ces faits aient pu se produire ainsi. Mais Aliza Shvarts entretient le flou sur ce qu'il s'est réellement passé, et a confirmé toute l'histoire. Mais rien que le fait d'imaginer une chose pareille est proprement aberrante.
Une étudiante en art de l’université Yale, Aliza Shvarts, a conçu une « installation », comme on dit maintenant, composée d’un cube pendu au plafond où, sur deux côtés, défile une bande
vidéo, avec au centre une peinture réalisée avec... le sang de ses avortements. La vidéo donne en boucle des images des dits avortements. Elle a également mélangé du sang (de même provenance)
avec de la vaseline, et a placé cette substance entre deux feuilles de plastique qui enveloppent le cube.
Ce qui nous rappelle ceci.
Il y a des moments où le silence s'impose.
Via François de Souche.
PS: L'université de Yale a démenti que ces faits aient pu se produire ainsi. Mais Aliza Shvarts entretient le flou sur ce qu'il s'est réellement passé, et a confirmé toute l'histoire. Mais rien que le fait d'imaginer une chose pareille est proprement aberrante.