L'heure du choix
Publié le 11 Avril 2007
Il est inquiétant de voir que la situation ne change pas.
Plus le temps passe, plus l'actualité décline son cortège de malheurs, d'agressions et de violence. Rien que du trés prévisible.
Et toujours, sans relâche, les commentaires des associations anti-racistes justifiant ces violences, camouflant les agressions anti-catholiques, orientant les articles, accablant d'opprobes les courageux qui auraient la témérité de s'élever et de se dresser contre cette barbarie.
On pourrait multiplier les exemples:
C'est cet homme, laissé dans un état desespéré par une bande de jeunes qui n'auraient fait que lui donner des coups de pied, selon le Monde.
C'est l'imposition, désormais faite en Angleterre, de ne pas embaucher trop d'employés blancs. A quand le tour de la France?
C'est Louis Schweitzer qui affirme que ce serait de la discrimination que de choisir un journaliste catholique, pour rentrer à Famille Chrétienne.
Ce sont ces morts pour un regard. On croit rêver mais non, c'est possible. En 2007, vous pouvez mourir parcequ'un imbécile a crû qu'on le regardait mal.
C'est cette femme qui, semble-t-il, a craqué, on ne sait pourquoi. Non, il n'y a aucun lien avec une religion de paix et d'amour qui a beaucoup, voire même plus apporté aux femmes, que tous les siècles de catholicisme.
C'est SOS Racisme qui, avec le MRAP, refuse d'évoquer les églises brûlées, car vous comprenez il ne peut y avoir de racisme anti-chrétien ou anti-blanc. Nous sommes dans un pays catholique, vous comprenez.
C'est le nombre de pratiquants musulmans qui dépasse désormais le nombre de pratiquants catholiques.
C'est le nombre de prestations auxquelles a droit une personne arrivant clandestinement sur le territoire.
C'est cet article indiquant clairement quelles sont les options qui nous restent. Et l'armée suisse n'est pas connue pour être un repaire de nostalgiques néo-nazis.
C'est cette liste de violences urbaines comme il en arrive tous les jours, et qui n'étonne personne.
C'est ce policier qui meurt dans l'exercice de ses fonctions, assassiné délibérement par des voyous. Et le pire est que nul ne reconnait que cela soit un assassinat, on ne parle que d'accident, Libé en tête.
C'est cette émeute à la gare du Nord, ce sont ces émeutes de banlieues en 2005, c'est ma bagnole qui est partie en flammes.
C'est finalement la troublante similitude entre notre pays et la France du Camp des Saints. Sauf que, dans le bouquin, il y en a qui se battent et qui meurent, alors que nous...
Et pourtant, le problème majeur n'est pas tant tous ces événements, (qui ont toujours plus ou moins existé aux travers des siècles) que cette tolérance envers les agresseurs, qu'il faut les excuser, que ce n'est finalement pas bien grave, que tous leurs actes sont explicables par l'oppression de la société, que Sarkozy est le seul responsable, que le sentiment dominant est qu'il ne FAUT pas parler des méfaits du multiculturalisme, du manque d'intégration de certaines populations, car cela n'est rien de plus que du racisme. Et on arrive même à considérer dans certains pays, (à quand la France?) que cette révolte est légitime, et surtout qu'elle n'est pas assimilable à de la haine. Ces manipulation intellectuelle, cet espèce d'égalitarisme à la petite semelle, est de plus en plus pesante et ce, quelque soit les gouvernements.
Le black-out est convenablement et méthodiquement appliqué.
Non.
Non.
Non.
Il y a des règles, il n'est plus possible d'en faire l'impasse et de s'en abstraire aussi facilement sous pretexte d'enfance économiquement malheureuse, de ressentiment envers la société, de ministres autoritaristes et autres conneries du même acabit.
Le multi-culturalisme impose sa loi, sans que cela ne choque personne. Il est interdit de se sentir surpris ou même menacé. Et le pire, c'est cette notion, vaguement anarchique, que tout ordre est anti-démocratique, que l'égoïsme, que le "moi je" est la seule valeur qui compte dans ce pays. Toute notion d'autorité semble devenue surréaliste et n'est rien d'autre qu'une pente dangereuse vers la dictature, comme on peut l'entendre à propos de Sarkozy, qui n'a pourtant pas été un des ministres les plus efficaces qui soient.
Ça fait beaucoup pour un pays.
Trop même.
Il est temps d'en finir.
Votez le Pen.