Au fait, c'est quoi, une messe en latin ?

Publié le 24 Juillet 2007

Si vous n'avez pas la patience de la parcourir dans son intégralité, je vous recommande de cliquer au hasard sur la bande, vous y constaterez la beauté, la solennité, le respect du divin qui caractérise ce rit.

Une belle messe tridentine, c'est ça.



Sinon, dans la plupart des messes, l'épitre et l'évangile sont dit en français, sauf durant les messes solennelles, ce qui est le cas ici.

Rédigé par Polydamas

Publié dans #Religion

Repost0
Commenter cet article
D
Ma conclusion est alors la suivante:<br /> Il est bien dommage que les prêtres ne respectent pas les rubriques...
Répondre
D
Vous dites : "l'épitre et l'évangile sont dit en français, sauf durant les messes solennelles"Ce n'est pas une pratique très liturgique. Peut-être tolérée, mais normalement le prêtre dit l'épitre et l'évangile à l'autel en latin et après il peut (s'il le veut) lire une traduction en français. C'est une pratique exta-liturgique.Bien à vous.
Répondre
P
<br /> Je ne suis pas là pour dire ce que dit la règle, mais pour rappeler comment ça se passe concrètement. Et concrètement, sauf aux grand-messes, les lectures sont dites en français.<br /> <br /> <br />
.
c certes magnifique, mais tout bon catholique qu on puisse etre meme si l on reconnai la beaute ce n est pas aisement comprehensible
Répondre
T
Je connaissais l'anis à Flavigny mais pas l'église...J'écouterai un peu plus longtemps un autre jour.(avec ma pile de repassage cela ira très bien)@ Dang :"Je me dis que si la messe avait été célébrée en latin au moins on aurait tous pu prier ensemble."C'est étonnant ce que tu dis là, car autant je n'irai pas spécialement à une messe en latin car le rite en lui-même ne me correspond pas, autant cela ne m'a nullement gênée d'être dans un pays dont je ne connaissais pas la langue, car même si on ne comprend pas, on est dans une communion de prière autour d'une même personne !
Répondre
D
@Ennemond : en ce qui concerne l'universalité du latin vous prêchez un (quasi) converti. Je suis un peu plus réservé sur la liturgie de Pie V, chère à Polydamas, sans être d'ailleurs le moins du monde hostile à cette messe qui a illuminé mon enfance.
Répondre