Dénationalisons l'histoire de France
Publié le 8 Décembre 2006
Il y a beau avoir des abrutis partout, franchement, là, ça fait peur, même Finkie n'en revient pas:
Dénationalisons l'histoire de France
Quand je pense que Shoenderffer était reçu le lendemain dans la même émission...
(Pour télécharger l'émission intégrale, copier ce lien dans un logiciel de téléchargement, type Flashget.)
Mais il faudrait être aveugle pour ne pas voir que cette mutation est déjà en marche. La preuve:
Je ne savais pas que l'on devait maintenant être fier de ceux qui étaient nos ennemis.
On marche tout simplement sur la tête.
C'est d'ailleurs la réponse que fait Finkie, qui, en résumé, s'étonne que des millions de personnes aient pu choisir la France comme patrie d'adoption sans que cela ne pose de problèmes auparavant. L'écrivain, M. Bidal, met d'ailleurs bien en exergue l'obsession anti-colonialiste (ou plutôt anti-occidentale) de cette Bouteljda, pour qui tous les maux de la planète se résument à la méchanceté de l'homme blanc..
Sur l'émission en elle-même, Halimi est ulcérée de ne pas pouvoir en placer une face à Finkie, Beneix est exemplaire, à part son encart sur l'Amérique Latine, et Bouteljda engoncé dans le discours habituel sur la "résistance légitime" du Hezbollah, avec en prime, la destruction des racines de la France.
Halimi s'est fait remarquer également pour avoir dit que Castro "avait rendu la dignité à son peuple", pour avoir affirmé que certains dictateurs n'étaient finalement que des leaders démocratiques, en oubliant au passage que les sandinistes avaient banni l'avortement du Nicaragua.
A noter une bonne première partie sur les enfants des révolutionnaires de 1968....
Via François de Souche
Dénationalisons l'histoire de France
Quand je pense que Shoenderffer était reçu le lendemain dans la même émission...
(Pour télécharger l'émission intégrale, copier ce lien dans un logiciel de téléchargement, type Flashget.)
Mais il faudrait être aveugle pour ne pas voir que cette mutation est déjà en marche. La preuve:
Je ne savais pas que l'on devait maintenant être fier de ceux qui étaient nos ennemis.
On marche tout simplement sur la tête.
C'est d'ailleurs la réponse que fait Finkie, qui, en résumé, s'étonne que des millions de personnes aient pu choisir la France comme patrie d'adoption sans que cela ne pose de problèmes auparavant. L'écrivain, M. Bidal, met d'ailleurs bien en exergue l'obsession anti-colonialiste (ou plutôt anti-occidentale) de cette Bouteljda, pour qui tous les maux de la planète se résument à la méchanceté de l'homme blanc..
Sur l'émission en elle-même, Halimi est ulcérée de ne pas pouvoir en placer une face à Finkie, Beneix est exemplaire, à part son encart sur l'Amérique Latine, et Bouteljda engoncé dans le discours habituel sur la "résistance légitime" du Hezbollah, avec en prime, la destruction des racines de la France.
Halimi s'est fait remarquer également pour avoir dit que Castro "avait rendu la dignité à son peuple", pour avoir affirmé que certains dictateurs n'étaient finalement que des leaders démocratiques, en oubliant au passage que les sandinistes avaient banni l'avortement du Nicaragua.
A noter une bonne première partie sur les enfants des révolutionnaires de 1968....
Via François de Souche