Homosexualité: un rapport anti-adoption
Publié le 31 Mai 2008
Tout ceux intéressés par le sujet devraient lire ce rapport, qui démonte scrupuleusement toutes les études soi-disantes objectives sur l'adoption par les homosexuels. Réalisée par l'institut
familial espagnol, cette étude décortique scrupuleusement tous les éléments avancés par les militants pro-gay.
Le résumé est à cet égard percutant :
Le rapport est téléchargeable ici. N'hésitez pas à le faire circuler.
Le résumé est à cet égard percutant :
La quasi-totalité des études réalisées sur l’évolution des enfants élevés par des couples homosexuels ne démontre rien. Presque toutes (y compris celles réalisées en Espagne) manquent de la
plus petite rigueur scientifique nécessaire pour pouvoir atteindre des conclusions d’un degré de validité acceptable. Les erreurs les plus habituelles de ces études sont : la taille de
l’échantillon (en général trop petit), son manque d’aléa (les couples homosexuels ne sont pas sélectionnés de façon aléatoire, mais ils sont même choisis par d’autres personnes sélectionnées ou
par des associations homosexuelles), l’usage de groupes de contrôle – couples homosexuels – inadéquats, ainsi que comparer des mères lesbiennes seules, avec des mères hétérosexuelles divorcées ou
séparées, avec le fait que les enfants des mères hétérosexuelles ont un désavantage dû au traumatisme du divorce ou de la séparation.
Jusqu’à présent, il n’y a pas eu une seule étude suffisamment ample et bien réalisée pour en tirer des conclusions. On ne peut donc affirmer en aucun cas, contrairement à ce que l’on fait de nos jours, que les études scientifiques donnent leur aval à l’adoption par des personnes du même sexe.
Du peu d’éléments de ces études à ne pas écarter, ainsi que d’autres études rigoureuses sur des sujets connexes, nous pouvons conclure que chez les enfants élevés par des couples d’homosexuels certaines conduites ou situations sont plus fréquentes que dans la moyenne de la population, lesquelles résultent en général défavorables pour eux :
Les problèmes psychologiques sont plus fréquents, et en particulier :
- faible estime de soi ;
- stress ;
- insécurité quant à leur future vie en couple et quant à avoir des enfants ;
- trouble d’Identité Sexuelle ;
- rejet du compagnon ou de la compagne du progéniteur homosexuel comme figure maternelle ou paternelle et préférence pour vivre avec l’autre progéniteur.
Sont plus habituels les troubles de conduite comme :
- dépendance de la drogue ;
- dysfonctionnements dans la conduite alimentaire ;
- échec scolaire : mauvais résultats et mauvais comportement en classe.
Il est plus courant qu’ils souffrent d’expériences traumatiques :
- rupture du couple : les couples homosexuels stables en Suède ont un indice de rupture bien supérieur aux couples mariés (+37% chez les hommes et +200% chez les femmes) ;
- abus sexuels paternels : Cameron et Cameron ont trouvé 29% de cas chez des enfants d’homosexuels contre 0,6% chez des enfants de pères hétérosexuels.
La présence de conduites ou d’identités homosexuelles est de l’ordre de 8 fois plus fréquente que la moyenne. En lien avec le dernier point, et indépendamment du jugement moral ou social (positif, indifférent ou négatif) qu’ont pu mériter les conduites ou même les simples tendances homosexuelles, ce qui est certain, c’est que les études disponibles montrent que les personnes homosexuelles expérimentent avec plus de fréquence que la population en général certaines situations en principe défavorables :
Une santé en général plus détériorée :
- un taux plus élevé de maladies mentales ;
- de l’ordre de 4 fois plus de cas de SIDA et autres Maladies Sexuellement Transmissibles ;
- une plus grande tendance au suicide.
Conduites de risque dans leurs relations affectives :
- plus de promiscuité ;
- un taux plus élevé de rupture de relations ;
- taux élevé de relations sexuelles avec des mineurs.
Évidemment, lorsqu’une personne adulte choisit librement cette conduite, elle accepte consciemment ces conséquences, mais tel n’est pas le cas d’un enfant qui se trouve exposé involontairement à des circonstances qui le rendent plus enclin à courir ces risques.
Si nous acceptons le bien-être de l’enfant comme priorité, vue la situation de l’adoption en Espagne et la bibliographie disponible sur le sujet, nous ne pouvons assurer en aucun cas l’aptitude des couples homosexuels pour adopter des enfants. Donc, devant le doute que pose une bibliographie aussi importante, nous nous voyons obligés de plaider en faveur du mineur et de solliciter que l’on n’accorde pas l’adoption de mineurs à des couples du même sexe.
Jusqu’à présent, il n’y a pas eu une seule étude suffisamment ample et bien réalisée pour en tirer des conclusions. On ne peut donc affirmer en aucun cas, contrairement à ce que l’on fait de nos jours, que les études scientifiques donnent leur aval à l’adoption par des personnes du même sexe.
Du peu d’éléments de ces études à ne pas écarter, ainsi que d’autres études rigoureuses sur des sujets connexes, nous pouvons conclure que chez les enfants élevés par des couples d’homosexuels certaines conduites ou situations sont plus fréquentes que dans la moyenne de la population, lesquelles résultent en général défavorables pour eux :
Les problèmes psychologiques sont plus fréquents, et en particulier :
- faible estime de soi ;
- stress ;
- insécurité quant à leur future vie en couple et quant à avoir des enfants ;
- trouble d’Identité Sexuelle ;
- rejet du compagnon ou de la compagne du progéniteur homosexuel comme figure maternelle ou paternelle et préférence pour vivre avec l’autre progéniteur.
Sont plus habituels les troubles de conduite comme :
- dépendance de la drogue ;
- dysfonctionnements dans la conduite alimentaire ;
- échec scolaire : mauvais résultats et mauvais comportement en classe.
Il est plus courant qu’ils souffrent d’expériences traumatiques :
- rupture du couple : les couples homosexuels stables en Suède ont un indice de rupture bien supérieur aux couples mariés (+37% chez les hommes et +200% chez les femmes) ;
- abus sexuels paternels : Cameron et Cameron ont trouvé 29% de cas chez des enfants d’homosexuels contre 0,6% chez des enfants de pères hétérosexuels.
La présence de conduites ou d’identités homosexuelles est de l’ordre de 8 fois plus fréquente que la moyenne. En lien avec le dernier point, et indépendamment du jugement moral ou social (positif, indifférent ou négatif) qu’ont pu mériter les conduites ou même les simples tendances homosexuelles, ce qui est certain, c’est que les études disponibles montrent que les personnes homosexuelles expérimentent avec plus de fréquence que la population en général certaines situations en principe défavorables :
Une santé en général plus détériorée :
- un taux plus élevé de maladies mentales ;
- de l’ordre de 4 fois plus de cas de SIDA et autres Maladies Sexuellement Transmissibles ;
- une plus grande tendance au suicide.
Conduites de risque dans leurs relations affectives :
- plus de promiscuité ;
- un taux plus élevé de rupture de relations ;
- taux élevé de relations sexuelles avec des mineurs.
Évidemment, lorsqu’une personne adulte choisit librement cette conduite, elle accepte consciemment ces conséquences, mais tel n’est pas le cas d’un enfant qui se trouve exposé involontairement à des circonstances qui le rendent plus enclin à courir ces risques.
Si nous acceptons le bien-être de l’enfant comme priorité, vue la situation de l’adoption en Espagne et la bibliographie disponible sur le sujet, nous ne pouvons assurer en aucun cas l’aptitude des couples homosexuels pour adopter des enfants. Donc, devant le doute que pose une bibliographie aussi importante, nous nous voyons obligés de plaider en faveur du mineur et de solliciter que l’on n’accorde pas l’adoption de mineurs à des couples du même sexe.
Le rapport est téléchargeable ici. N'hésitez pas à le faire circuler.